Cet article complète ma dernière chronique publiée dans Le Ô et mon billet de blog du 26 juillet sur nos rêves d’enfant.

Il y a des âges qui résonnent autrement. Ils n’ont rien de magique sur le papier, et pourtant… ils viennent cogner à la porte de nos habitudes.

Autour de 40 ans — parfois à 38, parfois à 45 — quelque chose s’installe. Une impression de flou. Pas un grand malheur, non. Plutôt un léger flottement, un soupir qu’on n’explique pas, une question qu’on n’ose pas formuler : Est-ce que je me reconnais encore dans cette vie que j’ai construite ?

Ce n’est pas une crise. C’est un cap.

On l’a appelée "crise de la quarantaine", comme si c’était une défaillance, une faiblesse, une faille dans le système. Mais ce n’est pas une crise. C’est un appel à la lucidité, parfois même à la tendresse envers soi.

C’est ce que j’ai voulu explorer dans ma dernière chronique du journal Le Ô, à travers un clin d’œil aux célèbres tests de magazines des années 80 : ces petites cases à cocher pour savoir si on est amoureuse, ambitieuse, fatiguée ou juste paumée.

Sous l’humour, une question sérieuse : et si ces signaux, ces soupirs, ces "je suis fatiguée sans raison" étaient des indices ?

En bonus pour vous aider à aller plus loin mais à votre rythme

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Et si la crise de la quarantaine était une invitation au renouveau ?

Signes que quelque chose cherche à se dire

Voici quelques-unes des questions que j’ai posées dans mon test. Elles ne sont pas là pour étiqueter, mais pour éclairer :

• Quand on vous demande ce que vous faites dans la vie… vous hésitez ?

• Vous vous sentez constamment sollicitée, mais rarement nourrie ?

• Le matin, même après une bonne nuit, vous vous réveillez déjà fatiguée ?

• Vous avez de plus en plus souvent envie d’autre chose… sans savoir quoi ?

Si vous vous reconnaissez dans au moins deux d’entre elles, ce n’est pas que vous êtes “perdue”. C’est que vous êtes en train d’évoluer.

Et cette évolution passe, souvent, par un flou. Une zone grise. Celle où l’on quitte un costume devenu trop étroit, sans encore savoir lequel enfiler.

Ce n’est pas du caprice. C’est du courage.

Le monde nous dit souvent : "Mais enfin, sois déjà reconnaissante de ce que tu as !"

Et bien sûr qu’on l’est. Mais être reconnaissante n’a jamais voulu dire s’oublier. Vouloir se réaligner n’est pas un luxe. C’est une nécessité.

J’ai vu tant de femmes (et d’hommes aussi) passer par ce cap. Et chaque fois, ce n’était pas une crise. C’était un retour à soi, à ses valeurs, à ce qui compte vraiment. Parfois, ça mène à un changement professionnel. Parfois, non. Parfois, c’est juste un changement de regard. Et c’est déjà énorme.

Comment traverser cette période avec plus de clarté ?

Je vous propose trois pistes douces :

1. Donnez-vous le droit de douter. Ce n’est pas un problème à résoudre. C’est une transition à accueillir.

2. Faites le tri entre ce qui est “bruyant” et ce qui est “vrai”. Certaines injonctions viennent de l’extérieur. D’autres viennent de votre cœur.

3. Autorisez-vous à explorer. Sans devoir tout décider tout de suite. Une discussion. Une séance d’introspection. Une page de carnet. Une marche en forêt.

Et si vous commenciez par un simple test, léger et révélateur ? Je vous le propose dans ma dernière chronique, à lire ici dès sa sortie : [Lien à insérer ici]

Pour aller plus loin

Vous ressentez ce moment de flottement ? Cette envie de faire le point, mais sans savoir par où commencer ? Je propose un premier échange gratuit pour explorer ce qui se joue chez vous et voir si un accompagnement pourrait vous soutenir.

📩 Me contacter : [email protected]
📱 Instagram : @nellysebastien_coaching

📘 Lisez la chronique complète dans Le Ô
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Ressources complémentaires

À retenir

Ce n’est pas un âge qui vous interroge. C’est une part de vous qui grandit. Et parfois, grandir, ça passe par un petit flottement. Une invitation à se retrouver.